De Tunis à Bruz: juillet 2014

jeudi 31 juillet 2014

Sortie à l'animalerie

31 Juillet 2014

Il pleut...

Sortie à l'animalerie Envies Animals

St Jacques de la Lande

Des écureuils

2 Hamsters

les ~~pieds~~ pattes dans le plat !

Sous nos pieds à travers les petites vitres

Un bébé Cochon d'Inde avec sa maman

Varans

Attention ton doigt Inès !

Coco décortique une graine de tournesol

Crevette bleue...

Salamandre...

Protée anguillard (Proteus anguinus), dit aussi Olm

Dans l'aquarium marin

Un poisson roche

Des crevettes rouges à pois blancs...

Ou rouge/orange à ligne blanche...

C'est pas un Zoo

mais on a passé un agréable moment !

samedi 26 juillet 2014

GéoCaching_Le Boël-Parc de l'An 2000

26 Juillet 2014

GéoCaching

Initiation de papa

N°8 - Écluse du Boël

Petite ballade le long de la vilaine...

Cache trouvée facilement avec la photo spoiler

Heureusement que papa est là pour l'attraper!

N°9 - Parc de l'An 2000

Le petit bois

En avant vers l'adresse GPS...

Nous n'avions jamais été sur ce petit sentier

Cache trouvée au pied de cet arbre

Échange collier contre bracelet silicone

Puis on remet tout en place...

vendredi 25 juillet 2014

GéoCaching

25 Juillet 2014

GéoCaching

N°1 - Chartres de Bretagne - Le Parc

Second essai... Toujours rien !

Là il nous faut de l'aide.

N°2 - Chartres de Bretagne - La Chapelle

Second essai... en regardant au bon endroit...

Concluant !

Oratoir au XVIème siècle, tombée en ruine vers 1817, elle est reconstruite en 1904.

N°7 - Bruz - Commune d'Ille et vilaine

Trouvée très facilement en moins de 5 minutes !

Contenant magnétique.

mercredi 23 juillet 2014

GéoCaching_Le Bombardement de Bruz

23 Juillet 2014

GéoCaching

N°6 - Le Bombardement de Bruz

Facile avec l'indice : le revers de la médaille...
Petite boite pellicule noire magnétique.
Échange d'une barrette contre bracelet silicone sirène.

La bombe trouvée en 2001

Des explications/photos sur le bombardement

de la nuit du 7/8 mai 1944

Le Blason

Les jeux

dimanche 20 juillet 2014

Le géocaching est un loisir qui consiste à utiliser la technologie du géopositionnement par satellite (GPS) pour rechercher ou dissimuler un contenant (appelé "cache" ou "géocache") dans divers endroits à travers le monde.

Une géocache typique est constituée d'un petit contenant à l'épreuve de l'eau et de l'environnement comprenant un registre des visites et un ou plusieurs "trésors", généralement des bibelots sans valeur. Plusieurs centaines de milliers de géocaches sont répertoriées dans 222 pays sur les différents sites Web communautaires dédiés à ce loisir.

N°1 - Parc de Chartres de Bretagne

Pas trouvé...

Pourtant au bon endroit près de la tirolienne.

Bien trouvé des papiers avec pseudo par terre...

Par contre voici une photo d'une grosse libellule...

Manque d'expérience... On repassera !

N°2 - Chartres de Bretagne

La Chapelle

Pas trouvé... On repassera !

mais on ne connaissait la Chapelle...

N°3 - BRUZ
Les Fours à chaux

Pas eu besoin de l'indice,

Sara a trouvé en 10 minutes, dans un des tuyaux...

C'est une géocache magnétique !

CHAUD DEVANT !

Puisez du calcaire. Ajoutez du charbon. Brûlez le tout. Vous obtenez de la chaux, un amendement indispensable au développement de l’agriculture. L’aventure de ces fours à chaux commence en 1850 quand Charles Condé, directeur des Assurances générales à Rennes, découvre que ses terrains contiennent une grande quantité du précieux minéral. Elle s’arrête en 1938 quand il est vain de concurrencer les nouveaux produits, tels les phosphates et les potasses.

Ici vous découvrez la partie basse du four appelée l’ébraisoir où la chaux était récupérée une fois la cuisson faite.
Les fours à chaux étaient d'imposants fours, de forme cylindrique et avaient une large paroi intérieure le plus souvent revêtue de briques. Grâce à la pierre calcaire qui était réduite en petits morceaux, on pouvait réaliser de la chaux. Le four était alimenté par son ouverture située en haut appelée le gueulard, dont une rampe permettait le plus souvent l'accès. Les chaufourniers alternaient les lits de pierre et de charbon pour le remplir au maximum, et du bois était apporté au pied du bâtiment pour assurer la mise à feu. Le chaufournier devait alors toujours maintenir une température entre 800 et 1000 degrés C tout en gardant le four rempli au maximum en le réapprovisionnant en pierre calcaire et devait également entretenir le feu. Une fois la cuisson faite, la chaux était récupérée grâce à une ouverture basse du four appelée l'ébraisoir. La chaux vive était alors éteinte dans une fosse adjacente à l'aide d'une grande quantité d'eau. La chaux « éteinte » était ensuite mise en sacs.